Photo: Sanjay Patel
Quand tu google le mot « polo », Ralph te saute aux yeux. Mais il est important que tu saches, toi qui t’intéresse aux choses du monde, qu’avant d’être un T shirt à col avec un cheval plus ou moins grand ou plus ou moins doré brodé dessus, le Polo est un sport.
De jolis garçons (et aussi de jolies filles) montés sur des chevaux, tapent à l’aide d’un maillet sur une baballe en plastique et accessoirement essayent de marquer des buts.
La pratique du polo remonte à peu près à 2000 ans, les perses avaient déjà découvert son potentiel glamour, mais évidemment ce sont les brits, décidément super forts, qui un jour, du côté de Manipur, en Inde, ont vu des moustachus jouer, et entre deux gin tonic ont décidé de mondialiser le concept.
On joue au polo à peu près partout dans le monde, mais c’est en Argentine que ce sport est un art de vivre. Tous les grands tournois se jouent ici.
Et donc, contrairement à ce qu’on pourrait croire, quand on voit Harry et William en tenue, le polo est un sport accessible, la preuve, j’y ai eu accès. J’ai passé une journée délicieuse, à la campagne, à bouffer de la viande, à regarder les copains taper dans la balle et surtout à entendre le bruit sourd de 32 sabots (2 équipes de 4 joueurs) se lancer au galop en même temps. La prochaine fois, j’essaye.
ps : et pourtant, j’aime pas trop les bêtes (mais j’aime beaucoup les bottes en cuir).
Dirty harry et Will en pleine action : le polo, une pratique royale, mais pas que.