Voilà.
C’est fait.
J’ai atteins le fond du fond de la vacuité totale. A savoir, 2 bonnes heures à mater des photos sur facebook de gens que je ne connais même pas.
L’heure est grave.
Il est temps de retrouver le chemin des choses intéressantes de la vie.
Les chaussures.
Comme tu le sais peut être les argentines raffolent des plate forme shoes immondes, y’en a gavé toutes les vitrines de Santa Fé. Mais à deux pas, avec des plate forme ou pas, y’a une jolie boutique confidentielle qui étale des souliers qui font rêver.
« Comme il faut* » c’est son nom. On la trouve en haut d’un petit escalier dans une impasse et il suffit de franchir la porte pour avoir envie d’onduler sur des talons hauts. Il parait que ce sont des chaussures pour danser le tango. La vendeuse, elle, dit que ce sont des chaussures magiques et qu’on peut tout faire avec.
Et c’est vrai. Parce qu’en plus d’être jolies, sophistiquées, et ultra sexys (de vraies ‘fuck me shoes’ selon Sanjay, le poète) elles sont faites par des danseurs pour des danseurs. Alors si t’as envie de courir un 100 m perchée sur 7 cm tu peux. Magique.
Arenales 1239 door 3 apt. M
tel: 4815-5690
info@commeilfaut.com.ar
* le nom français c’est un peu pour faire genre mais c’est aussi le titre d’un tango composé par Eduardo Arolas lors d’un séjour parisien.
je veux te voir en photo avec. je veux.
C’est ça qu’il me faut, moi qui suis infoutue de marcher en vrais talons ! je vais être obligée de traverser l’Atlantique, finalement ;- )