Tu tweet toi ? Moi oui, depuis hier, et le monde merveilleux de twittiland s’ouvre devant mes yeux écarquillés. J’adore.
Je sais, à la minute près, ce que font Priyanka Chopra ou Shah Rukh khan. Même plus besoin d’attendre la sortie de Filmfare.
Je sais aussi ce que font les post-ado manucurées scotchées à leur blackberry toute la journée. Moi aussi je veux un blackberry, avec des paillettes.
Et surtout, grâce à Miss malini qui aime bien les chaussures qui brillent, comme moi, donc que je follow – tu suis ? – j’ai découvert les meilleures adresses de la ville, emballées dans un sac en papier marron.
Brown Paper Bag est surtout une news letter attendue avec une impatience non dissimulée par les cool. Une équipe de fouineur sonde la ville à longueur de semaine et sépare le bien du qui pue avant d’emballer le bien dans un brown paper bag (c’est plus cool en V.O.) pour le livrer dans ta BAL (je viens de découvrir twitter mais quand même je parle moderne) le vendredi.
Si ton ordinateur a crashé et que t’as perdu la Newsletter tu peux toujours aller sur leur blog http://www.bpbweekend.com/ pour tout savoir et toi aussi être cool.
Sonam Kapoor est donc la femme la mieux habillée d’Inde (tu suis ? c’était mon dernier article).
Quel ne fut pas mon ravissement quand j’appris, l’autre jour, en buvant le thé avec et chez mon couturier préféré (ma vie est toujours aussi fascinante), que Sonam était passée le matin même et avait commandé une quinzaine de modèles?
J’adore les robes de James, mais si Sonam valide, alors là c’est carrément l’orgasme.
James Ferreira règne sur son atelier/boutique/ show room/maison au fond d’une impasse trop étroite pour les voitures dans un des villages oubliés de Bombay. Khotachiwadi est un havre de paix en plein capharnaüm bombayotte et James, dans sa maison d’un autre temps défend bec et ongle son héritage East Indian*. Entre deux conférences et trois coups de gueule sur la protection du patrimoine, il coupe inlassablement des kilomètres de tissus, et ce depuis plusieurs dizaines d’années.
James est, à l’image de sa maison, une tradition. 20 ans de folies et d’excès, une grande pause de réflexion et le revoilà, discrètement. Ses robes autrefois exubérantes et provocantes qui foutaient des grands coups de pieds au cul aux traditions indiennes, sont maintenant murmure de drapés, souffle de satin et légèreté du coton. Les silhouettes de James sont reconnaissables au premier coup d’œil, fraiches, contemporaines, intemporelles.
« Face à tous les changements sociaux qui surviennent en ce moment, la femme contemporaine indienne apprend à apprécier la simplicité et le confort de mes vêtements. Le temps est au changement et aux nouvelles attitudes dans notre pays, et je suis ravi d’être là, au premier rang »
Les créations de James naissent en quelques instants, il coupe, drape sur les mannequins qui occupent son salon et ne s’encombre d’aucun croquis. Le résultat est toujours simple, féminin et sensuel. Ses modèles vont à toutes les femmes, quelque soit leur age et leurs courbes.
James les connaît, les femmes. Toutes. Qu’elles soient la ‘socialite‘ la plus courtisée de la ville ou une foreigner anonyme curieuse. Il passe du temps avec elles, justement dans son salon sous les boules de mille couleurs qui pendent du plafond. Aller chez James c’est l’assurance de passer un moment délicieux à discuter avec un homme intelligent et à froufroutter dans des robes à peine terminées.
James le dit « je passe beaucoup de temps avec mes clientes, à dessiner les vêtements qui s’accordent avec leur style de vie. Ma cliente est moderne, sûrz d’elle, indépendante, spontanée et féminine ». Tout nous, non ?
Atelier – Boutique James Ferreira « D STUDIO »
47-G Khotachiwadi, Girgaum, Mumbai 400 004
t. 022 2387 5723 – jamesferreira@gmail.com
James ou son assistante reçoivent sur rendez vous. Une robe simple en satin coute environ 8 000 rs.
Ses création se trouvent aussi chez Bungalow Eight à Colaba, chez Ensemble à Khala Goda, Lions Gate ou à Kemps Corner.
* La communauté East Indian se veut être la première à avoir habité Bombay. Il s’agit d’une communauté chrétienne largement répandue à Bombay, notamment à Bandra, et dans l’état de Daman. Leur nom vient de la « East Indian Company » anglaise.
Aujourd’hui Barbie peut se rhabiller. Barbie a sa boutique en ligne à elle, qu’elle veut bien partager avec les princesses Disney, Hannah Montana, Sindy et d’autres conasses. Elle s’en fout, c’est elle la mieux gaulée.
Barbie maintenant c’est salopette pour aller travailler à Opéra,
Casual pour déambuler sur la 5ème,
Et glitter pour une soirée à Pali Hill
Barbie peut être à paris le matin, à New York l’après midi et à Bombay le soir, elle a l’avion de Barbie.
Bombay Blog + Concours Photo + Gâteau au Chocolat + Inde Arc en ciel + Robe Gypsy05 couleur Grey Rainbow + Somewhere Over The Rainbow + Magicien d’Oz + Chaussures qui brillent de Dorothy + Maisons qui volent + Gourous perchés + Barbie cachée + Vache qui regarde passer les vieilles + Filles qui regardent passer les trains + Déhanché qui regarde passer les voies + Arc en ciel qui regarde arriver la pluie.
Le Gâteau au chocolat : Chocolate Mud Pie du Tasting Room (1st Floor, Good Earth Building, Raghuvanshi Mill Compound, Senapati Bapat Marg, Lower Parel, +91 22 65220440) probablement le meilleur gâteau au chocolat du monde.
La Robe : Gypsy05.com. lls n’ont pas l’air de vouloir livrer en Inde mais j’ai fermement l’intention de la reproduire en achetant du tissus chez Thakur (Shop Number 3-4, Natasha Shopping Centre, Hill Road, Bandra 022 26429745 / 022 26409187) et en donnant le tout à mon tailleur préféré, à Kemps Corner (close to Shalimar Hotel)
Les chaussures: Ce sont celles de Dorothy, mais on en trouve des qui brillent autant dans la galerie de L’oberoi à Nariman Point (Candy Shoes Shop 16, Shop 16 Oberoi Towers Shopping Arcade Lobby, Yogakshema – Nariman Point, 022 22024723)
Décodage: Chaque mois, les bloggeurs de Bombay planchent sur un sujet commun. Sujet du mois : Inde Arc en Ciel. Règles : 3 photos commentées ou pas. Prix : Gâteau au chocolat pour la plus belle photo. J’ai pas tout bon pour les règles, mais je suis super motivée par le gâteau.
* halluciné sur cette ville de malades, où les wallahs sont là, à siroter leur chai, peinards sur le bord de la route, le cheveu plaqué et la chemise trempée, comme si de rien, alors qu’il tombe des trombes d’eau et que je suis sur le point de commander le modèle cuissardes sur megapeche.com
photo : Times of India
* pleuré comme une madeleine en regardant tout un tas de gens qui chantent We Are The World et qui enchainent sur Heal The World devant le cercueil fleuri du Roi de la Pop
* crié sur mes chiots qui se bastonnent en se prenant pour des dinosaures depuis qu’ils ont vu Ice Age 3 dimanche dernier
* zoné sur les blogs de modeuses parisiennes (voir liste à droite)
* médité sur la Mode, cette salope, qui revient me mettre des coups de pieds au cul en décrétant que le It truc c’est la veste en jean, celle que j’avais eu tant de mal à trouver avant hier, quand j’étais lycéenne, que j’ai chéri, puis oublié dans un coin chez mes parents et qu’une de mes sœurs a du retrouver et me subtiliser en douce, parce qu’elle, elle lit le ELLE le jour de sa sortie et pas 3 semaines après quand la poste indienne arrive à retrouver ma boite aux lettres.
* décidé que je ne pouvais pas vivre une minute de plus sans veste en jean et foncé ventre à terre chez Hues – boutique pas cher, dernière trouvaille de ma copine G.
* essayé 450 vestes en jean, acheté une toute molle, toute douce, sans étiquette (mais en vrai on sait que c’est une GAP), pour 500 Rs (7,69 €). Elle est un poil grande, mais demain, je la poserai chez mon tailleur préféré, au coin de la rue.
* décidé que demain, je penserai à autre chose qu’à des vestes en jean (après ma visite chez le tailleur) ou à des bottes, que je ferai quelque chose d’intelligent, ou en tout cas de moins con, et que je décrirai avec de jolis mots ma traversée de la Baie de Mahim sur le flambant neuf Bandra Worli Sea Link (oui, je sais que tu l’attends, mais tu vois, là j’avais d’autres priorités)
Le ciel est gris, le vent secoue les cocotiers, il fait frais, enfin, moins chaud. La mousson est arrivée. Comme ça, l’air de rien, et en deux averses on est passé de « il fait trop chaud pour travailler » à « tiens, je me ferais bien un petit cassoulet »
Voilà, je suis bien contente. J’ai dansé 5 minutes sous la pluie et puis j’ai été ramenée à la dure réalité.
Oui, ami(e), la vie n’est pas que sari rose plaqué et visage extatique baigné, les deux par une grosse vieille averse. Si on veut garder la hype dans toutes les conditions, même extrêmes, voici quelques conseils à mettre aux pieds.
1. pas de cuir, jamais: cuir mouillé = cuir foutu. Pas de photos, tu ferais des cauchemars de moisi vert à poils qui envahit ta maison. Unique exception (valable surtout pour toi, ami) : si tu veux faire dire à tes timberland flambant neuves qu’elles étaient déja à tes pieds, quand tu crapahutais sur la karakorum Highway en 1996.
2. chaussures en plastique, si possible fermées (les trucs qui flottent dans les flaques sont souvent de nature indéterminée et vaguement dégueu)
Je te vois venir derrière les rideaux de pluie et les torrents de boue, tu pensais ressortir tes havainas achetées à prix d’or dans un endroit exotique. Ben non, sauf si ce que tu veux, c’est le mollet constellé de taches de boue. Ou, oui d’accord mais uniquement le modèle à bride, pas tout à fait aussi glam. De toutes façons, ni l’un ni l’autre ne s’achète à Bombay, pas encore.
Maintenant, si vraiment tu tiens plus à la hype qu’à l’immaculité de tes pates arrière, tu vas sur colaba Causeway, chez Metro et tu achètes des flip flops de LoveArugamBay, nouvelle marque beachwear sri lankaise. Confidentielle, branchée et colorée.
Tu es jet setteuse, à la pointe de la tendance, tu as donc dans ton dressing des chaussures Melissa 100% plastique « do Brasil ». Et là, la brigade du style te félicite. Tu peux aussi trouver des copies 100% plastique « made in india », plus ou moins réussies dans tous les marchés de la ville (Colaba causeway, Hill Rd, Linking Rd, Warden Rd, etc).
Tu es Jet setter, tu sais que Melissa c’est que pour les filles. Toi, tu as Bata.
Tu n’es pas jet setter(se) et tu ne tiens pas à flinguer tous tes futals. Deux solutions : Les CROCS. Si vraiment tu veux ressembler à ça :
ou les bottes en caoutchouc, qui portées fièrement en répétant sans cesse « je suis kate moss à un concert de rock et je patauge dans la gadoue british », peuvent sauver tes petons de l’infection et ton pantalon de la contagion. Là, forcément, c’est mieux si t’es une fille, ou pas.
Trouve chaussure à ton pied et danse, danse, danse pour oublier que quoi que tu portes tu vas ressembler à une vieille serpillère mouillée (qui pue le moisi) pendant les trois prochains mois.
Je participe depuis peu, avec mes acolytes blogueurs francophones de Bombay, à un blog commun : le Bombay blog.
Les règles du jeu : chaque mois un sujet, publication simultanée, tous les moyens sont permis.
Le sujet du mois : Suis-je Bombayite ou Mumbaikar ? A publier avant 15h le 1er avril.
On est le 1er avril, il est 14h52, voici ma réponse (pour ceux qui auraient des doutes).
Tshirt: Bombay Electric, 1 reay house, best marg, colaba, mumbai
400 001 INDIA – open 7 days 11am – 9pm
ph: +91 22 2287 6276
Introduction : le titre est un jeu de mot, l’explication est dans le texte. Voilà, comme ça vous êtes obligés de lire, tellement vous êtes inquiets pour ma santé mentale.
Un jour je me suis perdue. Perdue dans la ville, enfin dans mon coin de ville. Perdue dans une petite rue ombragée par les bougainvilliers accrochés paresseusement aux balcons des villas portugaises plus ou moins décrépies. Perdue dans mes pensées, le nez au vent et les yeux rivés sur mes pieds pour être sure de ne pas tomber dans un trou (dois je rappeler où j’habite ?), quand tout d’un coup je suis sortie de ma torpeur par une puissante limousine vomissant des pieds manucurés dans des chaussures qui brillent (j’aime les chaussures qui brillent). Mes yeux captivés suivent l’éclat jusqu’à ce qu’il disparaisse derrière une lourde porte en bois.Fascinée par tout ce glamour, je pousse la dite porte et me revoilà perdue, encore, dans de la soie, du lin, des perles et beaucoup, beaucoup de paillettes. Cette caverne d’Ali baba, si près de chez moi ?Mon souffle se fait court, l’émotion me submerge et le déséquilibre me guette. OUF, ZOYA, le nom de la boutique signifie « Vie » en persan et l’atmosphère luxueuse et feutrée me réanime instantanément.
De nouveau en pleine possession de mes moyens je scrute les portants et je découvre avec plaisir les plus grands noms de la création contemporaine indienne*. Les modèles Origami légers comme des plumes de James Ferreira, côtoient les froissés savants de Gaba et les longues robes bollywoodiennes de Gauri and Nainika les lourdes étoffes des Kurtas de Priyadarshini Rao. Le tout agrémenté de colliers super modernes (dégoutée ils ont tout vendu sans attendre que je me décide à en acheter un), de pochettes éblouissantes et de sandalettes en cuir tellement jolies qu’on se croirait chez Rondini.
*James Ferreira, Sonali Mansingka, Mitika, Nachik et Barve, Gaba, Kishmish, Anuj Sharma, Gauri and Nainika, Kazamür, Priyadarshani Rao, Rewaz, Wendell Rodricks, Suede, etc. Premiers prix 2500 Rs
ZOYA, Multi-marques, A, Gulistan, Gound Floor, 184 D’Monte Park Rd, Off.Turner Rd, Bandra W – NoBo – (2642 0888 )
De quoi était chaussée Liz Hurley pendant les 6 jours qu’a duré son mariage indien ? On s’en fout ? Oui peut être, mais elle portait surement, au moins avec l’une de ses 72 tenues, une paire de « Kolhapuri chappals ». Et ça c’est une information cruciale parce que vous, qui êtes à Bombay, vous pouvez réaliser votre rêve le plus cher : porter les mêmes chaussures que Liz.
Vous ne savez pas de quoi je parle, vous détestez liz hurley, vous n’habitez pas à bombay ? Chaque problème a sa solution :
* La kolhapuri chappal est un soulier traditionnel indien en cuir, porté aussi bien par les hommes que par les femmes, à talon, sans talon, en cuir naturel ou de couleur. Son origine se retrouve à Kolhapur dans le Maharashtra (mais google me dit qu’on en fabrique partout maintenant). Si un jour vous avez foulé le sol indien de vos birkenstock, vous êtes surement repartis avec une paire de Kolhapuri dans votre sac à dos. Mais je ne sais pas pourquoi je m’évertue à décrire le dit soulier alors que vous avez du regarder la photo et que vous savez parfaitement de quoi je parle, parce qu’en plus, vous n’avez jamais foutu les pieds en inde mais oui dans la boutique antik batik.
* Vous détestez liz hurley, là sorry, mais je ne peux rien faire pour vous
* Vous n’habitez pas à Bombay,mais vous voulez absolument les sandalettes de Liz (que vous détestez mais qui parfois sait s’habiller), googlelez kolhapuri shoes et un univers de vente en ligne s’ouvrira devant vos yeux
Vous habitez Bombay, vous aimez ou pas Liz et vous savez de quoi je parle mais pas ou vous en procurer ? Super facile : Colaba causeway. Je n’ai pas testé toutes les échoppes, juste une, mais qui jusqu’à présent m’a donné entière satisfaction : Anupam Chappals. Son étale s’escamote dans le mur d’une petite rue perpendiculaire à Colaba Causeway, et quand il ouvre les deux grandes portes c’est une explosion de couleurs qui a lieu devant nos lunettes de soleil. La négo est dure (pas plus de 200 Rs pour les modèles de base), mais l’achat satisfaisant.
Anupam Chappals, specialist in Kolhapur chappals, City Walk House, Next to City Walk Shoes, NF Road, Colaba, Bombay 400 001 – 98207 78409 / email : mehboobsm@hotmail.com
On trouve aussi de très jolis modèles dans la boutique Neemrana. Un peu plus sophistiqués et un peu plus chers (500 Rs). Purdhotam Bldg, Shop n°6, Ground Floor, New Queen’s Road, Opera House, Mumbai 400034. 23677780 / 23614436 / neemranachikankari@yahoo.co.in
Regardez bien l’étiquette de votre t shirt préféré que vous avez payé une petite fortune dans un magasin aux tons neutre en France, 9 chances sur 10 pour que vous y trouviez les trois mots magiques : made in India. Ce qui est fabriqué ici est aussi vendu ici. C’est là que la magie de l’inde opère. Alors évidemment, la boutique ne ressemble en rien à celles aux tons neutres citée plus haut. elle fait 12 m², les fringues sont tellement tassées qu’on a du mal a les décoller les unes des autres, 14 vendeurs regardent au dessus de notre épaule en nous jetant des regards noirs si on ose déranger une pile, mais il est là, le petit t shirt Zadig. on regarde le prix sur la petite étiquette pourrie collée dans le col (300 rs), pour plus de plaisir, il y a l’étiquette originale avec le prix en euro. hehehe, mes copines vont être vertes.
On ne sait pas très bien si ce qui est vendu dans ces « export shops » est tombé du camion, a un défaut (en général il est signalé) ou a été fabriqué la nuit pendant que tous les chats sont gris, mais les boutiques ont pignon sur rue et de jolis sacs plastique a leur effigie.
Le petit tshirt zadig n’est qu’un exemple, d’ailleurs ne le cherchez pas, je les ai tous achetés, mais il y a des tonnes de fringues dans ces petits magasins. Il faut y aller régulièrement et ne pas hésiter a défier le regard noir du vendeur, mais notre garde robe se remplit sans faire de mal au porte feuille. Magique.
Voici quelques adresses (celles que je connais)
H2o Bandra: vêtements femme / homme / enfant / linge de maison et kitcheries princesses pour petites filles aimant beaucoup le rose. Ils ont récemment ouvert une section « luxe ».
Off Pali Naka
H2O Breach Candy – Oppostite Gabanna, Mahalaxmi temple (pour celle la, jet riche je n’y suis jamais allée, mais ce sont les mêmes propriétaires que le magasin de bandra, que je connais bien…
Cotton On Pali Hill (BANDRA) – femmes / enfants
Next to Saraswat Bank
Cotton OnChapel Rd (BANDRA) – femmes / enfants
Next to Barista / Cottons
Fendi – femmes/hommes
Fascination (BANDRA)- femmes / hommes
Carrefour Hill Road / mount Mary
Ne pas hésiter à demander la section homme, cachée dans l’arrière cours